Participez à une étude internationale sur l’audition, conduite par une équipe de chercheurs de l’université Paul Sabatier de Toulouse. Cette étude vise à comprendre l’évolution de notre système auditif pour mieux prévenir ses problèmes et éviter la perte de l’ouïe.  

Avec une équipe de spécialistes, la chercheuse en génomique évolutive Patricia Balaresque lance Earscape, une étude internationale pour comprendre comment l’homme s’adapte à son environnement sonore. En France, ce sont les habitants d’Occitanie qui sont sollicités pour constituer un échantillon.

  • Vous êtes âgé.e de plus de 18 ans et de moins de 60 ans
  • Vous êtes né.e en Occitanie, ainsi que vos deux parents
  • Vous ne souffrez pas de problèmes d’audition

Vous êtes les bienvenus pour participer à cette étude !

 Ce qui vous sera demandé

1) passer un test de sensibilité auditive, indolore, pour déterminer les fréquences que vous entendez

2) effectuer un prélèvement de salive, pour extraire l’ADN et analyser des régions impliquées dans l’audition,

3) procéder à un enregistrement de votre voix pour déterminer les fréquences fondamentales de votre langue

4) remplir un questionnaire sur vos caractéristiques biologiques, culturelles, notamment habitudes acoustiques,

5) et enfin (facultatif) effectuer un prélèvement de cire d’oreille pour analyser sa composition

Lieux et dates d’échantillonnage

  • 27 et 28/02/2024am: Station Écologique Théorique expérimentale (SETE), 09200 Moulis;
  • 28/02pm et 29/02/2024, Salle des fêtes de Campan (65170);
  • Du 5/03 pm au 8/03/2024: Centre de Recherche Biodiversité et Environnement (CRBE), Bât 4R1, Université Paul Sabatier, Toulouse.

 Une collation vous sera proposée en remerciement du temps que vous aurez consacré à cette étude et aux chercheurs

 Pour tout renseignement complémentaire et pour rejoindre l’étude : earscape@services.cnrs.fr

L’équipe de chercheurs vous remercie !

Allez plus loin

Qu’entendons-nous en Occitanie, et dans le monde ?

Patricia Balaresque est chercheuse en génomique évolutive au Centre de recherche pour la biodiversité et l’environnement (CRBE).